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Appel à communicationCet appel à communiquer ou à présenter un atelier s’adresse à un public désigné par le comité scientifique.
Les trois axes de communication ou de présentation en atelier Axe 1 : Premières pratiques de découverte des livres Comment prendre en compte les témoignages des professionnels de la petite enfance qui sollicitent le livre sous toutes ses dimensions sans se préoccuper de la question de « la » compréhension de manière centrale ? Il s’agirait de rendre compte de la place du livre par le biais d’analyses de réactions aux récits de fiction, réactions non verbales et réactions verbales, en crèche ou selon différents modes de garde. Quel est le rôle de la voix, du corps, des gestes… ? Axe 2 : La littérature de jeunesse à l’école maternelle Quels usages de la littérature de jeunesse en maternelle comme médiation au service d’apprentissage autres que littéraires (en tant qu’habiletés langagières, imaginaires, voire corporelles, par exemple) ou disciplinarisation précoce ? Comment interroger la place (le « coin-livres » par exemple), les usages, les pratiques multiples, les choix des livres ? Qu’en est-il de la place des interactions langagières dans les usages de l’enseignement de la littérature de jeunesse ? Qu’en est-il dans la formation des enseignants, novices ou plus chevronnés ? Quels outils de la formation mettre en place dans le rapport des enseignants aux livres et le rôle que les enseignants ont à jouer pour permettre l’accès à la culture et à des modes de pensée ? Axe 3 : Ce qui est figé, ce qui disparaît entre maison et école Dans ce qui est figé, pourrait être évoquée la question de l’aménagement du coin-livres, pourquoi n’y aurait-il pas de livres au coin-cuisine (livre de recettes, imagiers…) et au coin-peinture (livres d’art…), par exemple ? Les contributions pourraient interroger la place des parents et des enfants à l’école : pourquoi (hors crise sanitaire) ne pas aménager un « sas » où parents et enfants pourraient interagir ensemble autour d’« éléments de la vie de la classe » (des peintures d’enfants, un album photo de ce qu’il se passe dans la classe…) ou familiaux (objets apportés de la maison par des enfants) ? Comment le bien-être de l’enfant à travers l’usage du livre et d’une manière plus générale dans le rapport aux objets faisant partie de la vie personnelle de l’enfant, futur élève en puissance est -il pris en compte ?
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Personnes connectées : 2 | Vie privée |